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La confiance, socle de notre engagement mutuel

Chez B. Braun, la valeur « confiance » se décline en trois dimensions : la coopération constructive, l’ouverture au changement et l’influence positive. La confiance fait progresser les équipes dans un environnement privilégiant l’engagement mutuel.

Découvrez trois témoignages sur la confiance chez B. Braun, vue par des collaborateurs en logistique, méthodes et excellence opérationnelle : celui d’Amélie Dassy, assistante entrepôt à Ludres, qui a débuté comme préparatrice avant d’évoluer pas à pas grâce à la confiance réciproque. Celui de Carole Bouchet, technicienne méthodes à Chasseneuil, qui a travaillé quinze années en production avant de reprendre ses études et d’intégrer un rôle plus technique, toujours soutenue dans ses choix. Enfin, celui de Kenan Sulic, chargé d’études OPEX à Saint-Jean-de-Luz, dont le parcours rapide – alternance, intérim puis CDI – a été marqué par des projets ambitieux en digitalisation et par une forte confiance avec ses collègues et ses managers.

La confiance, levier d’évolution

Le récit de nos collaborateurs illustre combien la confiance est un levier d’évolution professionnelle. Pour Amélie Dassy, un moment précis reste marquant : « Il y a 10 ans, le directeur de site est venu me proposer d’évoluer en tant qu’assistante. Cela s’est déroulé sur plusieurs étapes pour être sûre de bien tout assimiler, et c’était le temps nécessaire. »

Cette même dynamique s’observe dans le parcours de Carole Bouchet, passée de la production au service méthodes à Chasseneuil : « Après 15 années en production, j’y ai acquis un “œil terrain” qui m’aide aujourd’hui à mieux appréhender les demandes des opérateurs. » La légitimité acquise au fil du temps s’est nourrie du regard confiant de ses responsables, qui l’ont accompagnée dans ce changement de fonction.

Pour Kenan Sulic, la confiance a pris corps dans un projet d’envergure : « Mon responsable, ainsi que notre directeur de site, m’ont accordé leur confiance en me donnant une autonomie totale mais cadrée.  Responsable avec ses collègues du déploiement d’un logiciel de digitalisation des processus de fabrication, il souligne combien cette autonomie accompagnée a été un moteur de motivation et d’engagement.

Transparence, écoute, respect : l’écosystème de la confiance

Au-delà de ces opportunités d’évolution, la confiance se nourrit de pratiques quotidiennes. Pour Carole Bouchet, il s’agit avant tout d’un état d’esprit partagé : « La confiance s’entretient par des échanges quotidiens, en faisant preuve de transparence et d’authenticité. »

Kenan Sulic insiste sur ce climat collectif : « La confiance durable repose avant tout sur la transparence et le respect mutuel. Il n’y a pas de zones d’ombre concernant nos missions ou nos difficultés. Cette transparence crée un climat où chacun se sent libre de partager. »

Au cœur de la logistique, Amélie Dassy met l’accent sur la dimension humaine : « Écouter les collaborateurs, prendre en compte les problématiques et leur faire un retour sur leur ressenti, ça crée le lien de confiance indispensable à un travail serein. » Pour elle, la sincérité reste une clé : « Les échanges francs, dire clairement ce que je suis capable de faire ou pas, c’est essentiel. »

Ces trois témoignages convergent vers une conviction : la confiance est autant un climat collectif qu’une responsabilité individuelle. Elle s’incarne dans la qualité des échanges, l’attention portée aux autres et la transparence partagée à tous les niveaux de l’entreprise.

Autonomie « cadrée » et coopération constructive

La confiance accordée aux collaborateurs se conjugue avec un cadre clair, garant de coopération et d’efficacité collective.

Kenan Sulic l’exprime ainsi : « On jouit d’une autonomie totale mais cadrée par le travail en équipe. Chacun joue ensuite son rôle. » Une confiance qui ouvre la voie à des initiatives, mais où les responsabilités sont partagées et assumées ensemble.

Carole Bouchet rejoint cette vision en soulignant l’importance de mettre les idées en pratique : « Échanger nos idées et pouvoir les appliquer sur le terrain, c’est aussi ça qui a participé à mon choix professionnel. » L’expérience acquise en production est pour elle un socle solide pour interagir avec les opérateurs comme avec les services supports, dans un climat d’écoute et de coopération.

De son côté, Amélie Dassy rappelle que son parcours est jalonné de ces moments où on lui a proposé de nouvelles missions. Chaque étape, encadrée et accompagnée, a contribué à renforcer sa confiance et celle de l’entreprise à son égard.

Nouvel arrivant : trouver rapidement sa place

La confiance se construit aussi dès les premiers pas dans l’entreprise. Tous trois insistent sur la nécessité d’être ouvert, proactif et attentif.

Carole Bouchet conseille : « Être proactif, ne pas hésiter à demander de l’aide, la capacité d’adaptation sont des qualités essentielles. »

Kenan Sulic abonde dans ce sens : « Être à l’écoute et faire preuve de proactivité, poser des questions, proposer des idées et accueillir les retours avec ouverture. »

Quant à Amélie Dassy, elle invite à miser sur la rigueur et l’ouverture : « Faire son travail du mieux qu’on peut et saisir les opportunités de polyvalence. »

Leurs trois regards traduisent une culture d’entreprise où la confiance se construit dans la réciprocité et l’engagement mutuel.

Par-delà les parcours individuels, la confiance transforme concrètement la façon de travailler ensemble.

Pour Kenan Sulic, l’impact est net sur sa manière d’aborder les projets : « La confiance m’a donné l’espace nécessaire pour oser, apprendre et évoluer ». Et Amélie Dassy de résumer ainsi : « La confiance, c’est la base d’un travail serein. »

“Nous pouvons compter les uns sur les autres. Nous créons des espaces où le développement personnel est favorisé. Nous prenons les décisions au plus bas niveau possible et nous nous engageons à des retours d’expérience constructifs pour tous.”

Engagement RH B. Braun : la confiance